dimanche 30 septembre 2012

Viols impunis en terre d'islam

L’horreur des viols systématiques commis sur les femmes algériennes durant la décennie noire du terrorisme islamiste (1991-2002) a été, pour tout Maghrébin normal, c'est-à-dire non islamiste,  une réalité difficile à accepter et à comprendre. Les témoignages qui nous sont parvenus rapportent que, durant cette décennie , au moins 10 milles femmes et jeunes filles ont été victimes de rapts et de viols collectifs perpétrés par les terroristes islamistes. Les récents viols commis en Tunisie démontrent une complicité tacite des autorités provisoires, ce qui, d'après l'ONU, s'apparente à un crime contre l'humanité.
De plus, ce gouvernement de la honte accuse d'attentat à la pudeur la jeune femme qui porte plainte, pour viol, contre une troïka (encore une troïka maléfique) de flics.  En Algérie la police protège les citoyennes contre les exactions islamistes. En Tunisie, après les graves incidents (contrôles musclés contre les femmes seules ou accompagnées en voiture la nuit, pour le seul fait qu'elles soient dévoilées), voici maintenant que des membres de la police passeraient à une autre étape pour terroriser les Tunisiennes. Il n'est guère étonnant que des appels à la désobéissance civile aient été émis ces jours, incitant les femmes non voilées de ne pas s'arrêter aux contrôles de police.

Que dit la Loi islamique au sujet du viol ?

Dans la Loi islamique, la charia, les relations sexuelles permises sont bien définies. L’adultère et la fornication sont strictement interdits pour les croyants: c’est ce que l’on nomme le zinaa. Le zinaa est par définition n’importe quelle relation sexuelle entre deux personnes qui ne sont pas légalement mariées ou reconnues légalement comme ayant une relation de concubinage. Le viol est habituellement apparenté à la notion de zinaa. Les quelques écrits qui traitent du viol et du zinaa ont comme préoccupation principale le débat qui existe autour des punitions imposées aux coupables.
Les punitions peuvent être appliquées aux personnes déclarées coupables de zinaa, et peuvent être la lapidation, l’amputation de membres ou des coups de fouet, cette punition variant selon le statut marital du ou de la coupable.  La communauté légale s’entend généralement pour affirmer qu’il faut quatre témoins afin de prouver la culpabilité d’une personne dans un cas de zinaa. Ces témoins doivent être des hommes musulmans (et non des femmes) de bonne réputation. Sans de tels témoins, il est impossible d’appliquer le hadd, à moins que la personne plaide volontairement coupable. Dans le cas où il n’y aurait pas de témoins, la sanction appliquée pourra être des coups de fouets, des amendes et/ou l’emprisonnement. 
Ainsi donc, en cas de viol, comme il est rare qu’un tel crime soit commis en public devant quatre bons musulmans mâles, punir le coupable est donc impossible en islam. Ce qui revient à dire que la Loi Islamique, la charia,  punit « virtuellement » ou "théoriquement" le violeur. Dans les faits, si on suit cette Loi, le violeur ne risque pas grand chose. Bravo, la charia !!

L'application de la Loi Islamique

Les difficultés de l’application en société de ces principes légaux sont visibles dans la loi pakistanaise qui régit le zinaa. Établie en 1979, très peu de distinctions existent dans cette loi entre les crimes de viol, ceux d’adultère ou de fornication: ils sont tous considérés comme des crimes faisant outrage aux bonnes mœurs et aux règles sexuelles formulées par le Coran. En faisant de la fornication et de l’adultère un crime, cette loi réduit l’abomination du viol, puisque la fornication, l’adultère et le viol sont considérés sur le même pied d’égalité par la loi. Cette loi pakistanaise est machiavélique car si une femme intente des poursuites pour viol un homme, et qu’il est possible de prouver qu’il y a eu une relation sexuelle, mais impossible de déterminer si la femme n’a pas été consentante, elle pourrait être poursuivie pour le crime de fornication ou d’adultère! C’est souvent le cas en pays musulman, comme en Tunisie aujourd'hui.
La loi tunisienne de 1969 sur le viol impose qu’un tel crime soit puni, sauf si l’agresseur consent à épouser sa victime. Dans ce cas, le violeur ne sera pas puni. Cela veut dire aussi que, si un bandit, un criminel,  ou n'importe quel mâle en rût, a envie d’une femme, et que celle-ci n’en veut pas, il suffit à ce mâle de violer cette femme et de déclarer ensuite vouloir l’épouser. C’est le comble de l’injustice ! C’est pour cela qu’en ce moment, en terre d’islamisme, le viol se banalise.
Ce qui semble découler de ces différentes législations est que le viol n’est pas considéré indépendamment de la relation sexuelle. Alors qu’en Occident il est généralement accepté que le viol est un crime de violence qui a peu en commun avec la relation sexuelle, dans les divers pays de l’Islam, c’est l’acte sexuel non légitime qui est la source du crime.
Afin d’illustrer la différence entre les perspectives occidentale et islamique, G.-H. Bousquet explique que, dans l’école de droit malékite, une relation sexuelle avec un être non sexué — avec un animal ou avec un bambin, par exemple — ne peut pas être considérée comme un zinaa. Si un enfant est trop jeune pour éprouver une sensation sexuelle à la suite d'une agression sexuelle, il n’y aura pas eu de viol. Ces comportements ne sont pas souhaités et seront punis, mais ils ne seront pas considérés comme sexuels et il n’y aura pas eu de zinaa. Ce qui fait dire à beaucoup de gens, en Occident et ailleurs, que l’Islam ne punit ni la zoophilie ni la pédophilie. On a vu, récemment, un « pseudo-ouléma » émettant une fatwa autorisant la nécrophilie. 

Le viol, une injure à l’ordre social

Les différentes perceptions face à la sexualité et face à la virginité des femmes se confondent avec les notions de vertu et d’honneur dans la plupart des sociétés musulmanes puisque, socialement, l’individu applique la notion d’honneur tant à lui-même qu’au clan. Ce lien entre l’honneur et la sexualité féminine semble particulièrement important dans les sociétés arabo-musulmanes.
Dans les sociétés islamiques, il n’y a pas d’échappatoires qui permettraient à une femme violée, souillée par une relation sexuelle non légitime, de se débarrasser de cette souillure et de réintégrer la société. Puisque le viol est une injure à un ordre établi — les règlements qui régissent les relations sexuelles établies par le Coran — et que la société est dépourvue de moyens pour classifier cette situation, la victime doit donc être évacuée et bannie de la société, tel que démontré dans les exemples cités en Algérie et au Pakistan.
Il est important de noter que les notions de virginité et d'honneur face à la problématique du viol circulent dans la plupart des sociétés musulmanes, indépendamment de la culture ou du pays d’origine. 

L'ONU a fait du viol un crime contre l'humanité

Les Nations unies estiment que le viol et toute autre forme de violence sexuelle peuvent constituer "un crime de guerre, un crime contre l'humanité ou un élément constitutif du crime de génocide".  (résolution 1820) 
En conséquence, les Nations unies estiment désormais que le viol et toute autre forme de violence sexuelle peuvent constituer "un crime de guerre, un crime contre l'humanité ou un élément constitutif du crime de génocide". De facto, ces crimes deviennent donc imprescriptibles au regard du droit international, et le Conseil de sécurité appelle à les exclure du bénéfice des mesures d'amnistie prises dans le cadre de processus de règlement de conflits. 

Le référentiel « Droits de l’Homme universels » définitivement refusé dans la Constitution tunisienne

Le référentiel « Droits de l’Homme universels » a été définitivement refusé par la commission chargée du préambule de la Constitution tunisienne. Cette référence existait pourtant bel et bien dans l’ancienne Constitution datée de 1959 et son inclusion dans la nouvelle constitution a été recommandée par la Commission de coordination. D'autres  articles sont encore en litige au sein de cette commission du préambule tels que l'article 6 sur l'égalité des citoyens, le 10 sur les Droits de la famille, le 17 sur les conventions internationales...

Les islamistes tunisiens «justifient» le viol des femmes


Premier exemple : Quand on sait que le viol de la jeune femme, Meriem, à Tunis, le 4 septembre 2012, est commis par 4 flics, des fonctionnaires d’un État dominé par Ennahdha dont le programme est obsessionnellement axé sur la destruction des acquis de la femme, voulant imposer tous les interdits que prône le wahhabisme, il n’est pas impossible que le viol soit devenu une arme dissuasive utilisée par certains fonctionnaires «zélés», des sympathisants d’Ennahdha. Ennahdha considère la société civile en général, et les femmes non voilées en particulier, comme ses ennemis. On se rappelle, en effet, de l’appel, lancé par des imams salafistes, en pleine période électorale, au viol de ces femmes «nues» (i.e. non voilées, celles que Marzouki, le président fantoche, a nommées «safirat»), qu’ils ont décrété «halal» (licite!) ces viols.
Rappelons qu’à ce jour, Rached Ghannouchi, alias Iznogoud, président du parti islamiste, n’a pas condamné ce viol ! Qui ne dit rien consent. Rappelons aussi la déclaration choquante de Ridha Belhaj, chef de Hizb Tahrir, parti extrémiste religieux légalisé par le gouvernement Ennahdha, rappelant que la chariâ exige que la jeune femme violée produise le témoignage de 4 témoins oculaires mâles, bons musulmans (??) pour que sa plainte soit recevable.
Rappelons enfin, que la propre fille de Ghannouchi, Yusra, est dans tous ses états : non pas parce qu'on a violé une fille, mais parce qu'on en parle trop, à son goût ! Alors que cette affaire prend un écho mondial chez les défenseurs des droits de l’Homme et dans les médias, Yusra Ghannouchi tente, sur son compte Twitter, de trouver des circonstances atténuantes à cet acte ignoble. La fille d'Iznogoud s'avère pire que son père, hélas.

Deuxième exemple : Un homme, âgé de 49 ans vivant entre Tebourba et La Manouba, a été arrêté pour viols, attentats à la pudeur et tentatives de viols sur des enfants en bas âge. L’accusé, amnistié par Marzouki alors qu’il purgeait une peine pour des délits de mœurs, a été interrogé et a déjà avoué 22 crimes de pédophilie ! Ce qui laisse supposer que le nombre de crimes est beaucoup plus élevé. Ce bonhomme, possédant une voiture, faisait appâter, selon ses aveux, ses jeunes victimes en leur offrant des bonbons ou de l’argent selon leur âge, puis les amenait, en voiture, à La Manouba où il possède une maison qu’il utilise à ses fins abjectes. A noter que le présumé criminel est divorcé suite à une requête de son épouse qui « ne voulait plus vivre avec un pédophile », selon le dossier de l’affaire du divorce. Le violeur court toujours, libre comme l'air et prêt à récidiver, inch'Allah dirait un islamiste pratiquant.


Troisième exempleDeux délinquants notoires, aux casiers judiciaires bien fournis, ont cambriolé, mardi soir une maison à Kairouan avant de violer les deux occupantes de la maison, une mère de famille et sa sœur. Les deux agresseurs ont violé la maitresse des lieux âgée de 30 ans sous les regards de son fils. Sa sœur qui habitait chez elle, âgée de seulement 20 ans, n’y a pas échappé à son tour. Une source sécuritaire a confirmé que les deux délinquants impliqués dans le viol ont bénéficié de la grâce présidentielle. Selon les premières informations, le premier aurait été gracié le 14 janvier alors que l’autre fait partie de la dernière liste des prisonniers graciés le 20 mars en cours.


En Tunisie, sous les islamistes,le viol est devenu un sport national, avec la complicité tacite des autorités, qui n'y voient rien à redire. C'est la volonté d'Allah, on n'y peut rien. Pas de témoins (4 bons musulmans), pas de sanction. Et dire que le président aussi provisoire que fou est reçu en grandes pompes au Parlement européen, avec , en plus, une standing ovation. Elle est belle cette Europe.

Additif du 6/12/2012


Le calvaire judiciaire de cette jeune femme violée par des flics en tenue se poursuit. Près de trois mois après avoir été violée , cette Tunisienne de 27 ans  se voit de nouveau renvoyée devant la justice. Accusée d'abord d’«atteinte à la pudeur», elle avait bénéficié vendredi d’un non-lieu, mais le parquet (qui est aux ordres du Gouvernement de la Honte) a interjeté en appel ce lundi 3/12/2012 de la décision. Elle encourt donc toujours une peine de six mois de prison.
Vendredi, pourtant, un grand pas avait été fait en faveur de la victime. Le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis avait acquitté la jeune femme pour défaut de preuves et vice de procédure. Dans le même temps, il avait mis en examen deux de ses agresseurs pour «viol et complicité» et le troisième policier pour «corruption». D’après le journal tunisien «Le Temps», des preuves ADN ont été amassées contre eux, notamment sur les vêtements de la Tunisienne, et ont contribué à l’acquittement.

Le 13/2/2013 : Le frère du ministre de la justice islamiste est un pédophile !!

Dans une vidéo circulant sur Youtube, on voit la preuve d’un nouveau scandale frappant Neji Ben Abdallah Bhiri, frère du ministre islamiste de la Justice Noureddine Bhiri. On peut apercevoir (les images étant de très mauvaise qualité, réalisées avec un téléphone)  Néji Bhiri en compagnie de très jeunes gens , et de la drogue. Rappelons que Neji Bhiri est connu pour avoir fait de la prison pour viol et pédophilie, impliquant avec lui son frère dans une polémique en rapport avec sa libération lors de l’amnistie du 14 janvier 2012. Cette amnistie était normalement destinée aux prisonniers politiques et non à ceux de droit commun, dont les assassins, les violeurs et les pédophiles.

Si le contenu de cette vidéo dégage beaucoup de dégoût et de révolte, il est toutefois difficile de préciser quand elle a été réalisée. On note cependant que date d’émission de la carte d’identité,  qui a été filmée , est le 29 mars 2012. Donc la vidéo est forcément postérieure au 29/3/2012.
Mais nous savons tous que, pour les islamistes la drogue, le viol et la pédophilie sont halal, ils sont même recommandés contre les mécréants, comme les filles non voilées. Remarquons que, pour les Occidentaux, leurs amis protecteurs, ces islamistes-là sont des "modérés".

Un État voyou

L'expression d'état voyou renvoie à l'idée d'un État qui ne respecte pas les lois internationales les plus essentielles, organise ou soutient des attentats, ou viole de manière systématique les droits les plus élémentaires de l'être humain. Depuis l'avènement de la contre-révolution islamiste, la Tunisie est devenue un repère de brigands et de terroristes. Beaucoup de terroristes tunisiens et étrangers sont accueillis et hébergés en Tunisie.  Les exactions des délinquants islamistes ou salafistes, dont des policiers en goguette (en chasse de femmes à humilier), demeurent, pour l'essentiel, impunies, sinon encouragées. Les victimes de viol sont poursuivies ou emprisonnées si elles portent plaine. En rejetant les Droits de L'Homme Universels, dont la charte de l'ONU concernant le viol, la Tunisie islamiste se place désormais dans la catégorie "des états voyous", comme le Soudan, l'Arabie Saoudite ou le Qatar, sous la houlette protectrice de l'Oncle Sam.

Additif du 27/7/2013

Agression sexuelle d’une activiste dans un poste de police 


commissariat-de-police-tunisieUne jeune membre du Mouvement Culturel Révolutionnaire, Amel Attia, affirme avoir été sexuellement agressée au sein du commissariat de la rue Charles de Gaulle (Tunis) après avoir été embarquée par la police alors qu’elle assistait à la manifestation spontanée du 25 juillet, suite à l’assassinat de Mohamed Brahmi.
En réaction à l’assassinat, hier, 25 juillet 2013, du député Mohamed Brahmi, une manifestation spontanée s’est tenue à l’avenue Habib Bourguiba. Certains manifestants ont été arrêtés par les forces de l’ordre qui tentaient de disperser les manifestants. Amel Attia, membre actif du Mouvement Culturel Révolutionnaire, faisait partie de ceux qui ont été conduits au poste de police de la rue Charles de Gaulle, plus connu sous le nom de “septième”
Une fois au poste, la jeune fille a été laissée dans un couloir du commissariat avec des individus en civil qui ne semblaient pas être des policiers. Et c’est le début du calvaire pour Amel.
Une fois dans les couloirs du commissariat, l’ambiance était tendue. Des personnes habillées en civil qui ne ressemblaient pas à des flics se sont emparé de moi. J’avais l’impression d’assister à une scène de braquage. Je n’en croyais pas mes yeux, Les témoins étaient bel et bien des policiers en tenues de maintien de l’ordre. Mes agresseurs étaient plutôt des clochards, du moins leur allure me donnait cette impression…raconte Amal d’une voix tremblante
Visiblement bouleversée, Amel continue son récit :
Cette bande de clochards déchaînés m’a encerclée et a commencé à m’agresser sexuellement. Ils tendaient tous leurs mains vers ma poitrine et tout mon corps…Certains d’entre eux ont même osé essayer de se déshabiller. Les policiers faisaient le va-et-vient sans qu’aucun d’entre eux ne réagisse.
Finalement, Amel a réussi à se défaire de ses agresseurs et à quitter le poste de police. Elle se rappelle à peine comment elle a fait. Elle sait seulement que les policiers ne l’ont pas empêchée. Tout au long du trajet de retour chez elle, la jeune fille n’a pas arrêté de vomir. Loin de baisser les bras, elle compte poursuivre les criminels.
Note de la Rédaction: Nous avons essayé de contacter un responsable au commissariat de la rue Charles de Gaulle sans réussir ni à avoir de réponse ni même à joindre un responsable.(Source Nawaat).

Ajout du 24/05/215 

Daech : « Le "sexe forcé" ce n'est pas du viol »

Dabiq est un magazine de propagande de l'État islamique, alias Deach, alias ISIS. Le dernier numéro met en évidence une affaire jugée « trop délicate » par la société : le viol. Ou du moins, de la façon dont vivent les femmes abusées sexuellement par les combattants de l'État islamique.
Dans ce numéro, le magazine de l'État islamique met en évidence le phénomène des « esclaves sexuelles » avec un témoignage ahurissant d'une femme Yazidi. Umm Sumayyah al-Muhajirah s'exprime sur le fait qu'elle ne juge pas le « sexe forcé » comme du viol, mais plutôt comme une forme de « grande Sunna prophétique » se basant sur les faits du prophète Mahomet. Ce qui va à l'encontre même des principes de l'Islam qui défend que le sexe doit être pratiqué uniquement entre un mari et sa femme. Or ici, les femmes sont considérées comme des « objets » sexuels.
Certaines Yazidi ne voient plus d'autres solutions que le suicide pour ne plus vivre l'enfer de l'esclavagisme sexuel dans lequel elles sont engouffrées. Elles jugent les conditions de vie « inacceptables ». Umm Sumayyah a une pensée pourtant bien différente de ses « camarades », pour elle ces faits sont « normaux » et permettent de pallier les besoins des hommes.
Récemment, une vague de suicide s'est fait remarquer au sein d'ISIS, les femmes utilisaient souvent leurs foulards pour se pendre. Le chef de file de l'Etat islamique a immédiatement tenu à réagir à cette « nouvelle tendance » du suicide, jugeant que « se donner la mort est pêché dans la religion », en privant le port du foulard pour les esclaves sexuelles, d'après les informations de The Daily Beast.
Umm Sumayyah se permet de dire qu'elle ne se considère pas « violée », bien sûr elle ne se voit pas non plus prostituée comme « les femmes de l'ouest ». Pour elle : « une prostituée commet ouvertement le péché, elles vivent en vendant leur honneur ».
 


Hannibal GENSERIC